L’Arnaque !
- Tristan NANCEY
- 9 févr.
- 2 min de lecture
Qui a-t-il de mieux que de parler cinéma avec une vraie passionnée ? Marie-Salomé Farraudiere nous livre, dans cette chronique ciné, ses impressions.
Propos recueillis par Tristan Nancey.
Oubliez Ocean Eleven ou Braquage à l'italienne ! Replongeons ensemble, avec nostalgie pour certains, dans les années 1970 avec l'Arnaque sorti en 1973.
Directement inspiré du film français Borsalino sorti trois ans plus tôt avec le duo très remarqué Delon-Belmondo, c’est avec cette fois-ci une touche plus américaine que nous suivons un nouveau binôme interprété par Paul Newman et Robert Redford (rien que cela) !
L'histoire nous plonge en 1936 avant la Seconde Guerre mondiale, à Chicago, une ville animée et en plein essor. Nous suivons Jimmy, crocheteur, joué par Robert Redford, alors que l’acteur n’en est qu’à ses débuts au cinéma. Intrépide et ambitieux, le crocheteur est un arnaqueur. Il lui reste encore beaucoup à apprendre, et notamment de la part du grand maître Henry Gondorff.L'histoire nous plonge en 1936 avant la Seconde Guerre mondiale, à Chicago, une ville animée et en plein essor. Nous suivons Jimmy, crocheteur, joué par Robert Redford, alors que l’acteur n’en est qu’à ses débuts au cinéma. Intrépide et ambitieux, le crocheteur est un arnaqueur. Il lui reste encore beaucoup à apprendre, et notamment de la part du grand maître Henry Gondorff.

Sa cible ? Le maître des paris de la ville, Doyle Lonegan dont le rôle revient à Robert Shaw. Ce dernier a mis un contrat sur la tête du crocheteur et de son ancien compère Luther, les deux ayant eu le malheur de voler à l'un de ses coursiers la coquette somme de cinq mille dollars.
Ensemble, ils montent une arnaque qui repose sur les paris sportifs et leur apportera un sacré pactole, soit un demi-millions de dollars à se partager ! Tout au long des deux heures de long métrage, nous apprenons comment truquer les jeux de carte, jouer de l'illusion ou repérer un arnaqueur ! Comme dans tout film qui se respecte, chaque détail compte. Roulettes, craps, loterie… Les casinos n’ont qu’à bien se tenir !

Comments